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La Voix de l'Ain - 16 avril 2016
NUMER01 ---- le magazine du département de l'Ain Nov/déc 2015 - Janv 2016.
Paru dans NUMERO1, le magazine du département de l'Ain
le 5 novembre 2015.
J'en profite pour vous rappeler le
Marché des soies à Lyon
le 20 et 21 novembre de 11h à 18h.
Je serais très heureuse de vous rencontrer pour échanger autour de Rubans de Soie et vous dédicacer un exemplaire si vous le
souhaiter.
NOËL arrivera vite.
Pourquoi ne pas offrir un livre "régional" !
A très bientôt.
MODES et TRAVAUX n° 1377 du mois d'août 2015
ROUTE DE LA SOIE...
Bercée par des souvenirs soyeux, Marie François nous entraîne à Lyon, réputée pour la soie et ses canuts.
Églantine, jeune sauvageonne, rêve de haute couture. Mais sa route sera semée d'embûches en pleine guerre mondiale.
«Rubans de soie» de Marie François, éd. Versogne. 26,90€
LA VOIX de l'AIN du 10 juillet et du 24 juillet 2015
Devant l'impossibilité d'obtenir un lien ou une copie Internet des articles parus dans les Voix de l'Ain numéros 3663 et 3665, je ne mettrai que les titres :
Marie Francois dédicace RUBANS de SOIE, son dernier roman.
et
Marie François à la rencontre du public. Elle a reçu un accueil chaleureux.
Je remercie toutefois Laurence Ravenot pour avoir écrit ces articles en les accompagnant de
photos.
Article paru sur le Journal de la Côtière - N°995 du 18 au 24 juin 2015 bugeycotiere.fr
« UN ROMAN PROPICE A DE BELLES SOIRÉES DE LECTURE ! »
RUBANS de SOIE, un « roman brodé
»
par Marie FRANCOIS
dans le décor des Soieries de Jujurieux.
extrait du journal Le Progrès du 11 juin 2015
Le PROGRÈS de l'AIN jeudi 11 juin 2015
Marie François : « La soie très présente dans ma vie m’a toujours attirée »
En juin parait « Rubans de Soie ». Un roman brodé par Marie François dont l’héroïne, Églantine, évolue dans le décor des Soieries Bonnet à Jujurieux sur fond de première Guerre mondiale
Rencontre avec Marie François, auteur de romans historiques.
Pourquoi avoir choisi la soie ?
Originaire de Lyon, fille de libraire, j’habitais dans le vieux quartier des soyeux, rue Vaubecour. La soie était très présente dans ma vie et elle m’a toujours attirée, mais je n’en connaissais pas la technique. Mon cheminement vers la soie a été long et ce livre est un aboutissement pour moi.
Quelles sont vos attaches avec l’Ain ?
Mon mari est originaire de Meximieux, nous avons une maison dans la Dombes, où nous nous retrouvons l’été avec enfants et petits-enfants. Puis la soie ne pouvait que me mener sur la route de Jujurieux.
Comment avez-vous complété vos connaissances sur le travail de la soie ?
Auparavant, j’avais déjà eu l’occasion de visiter les usines Bonnet, à plusieurs reprises. Pour mon roman, je les ai redécouvertes avec un autre état d’esprit et dans le but de faire évoluer Églantine dans cette atmosphère. Il me manquait donc la technique que j’ai pu mieux connaître, grâce au livre d’Henri Pansu, sur la soierie et grâce à l’aide précieuse de Nathalie Foron-Dauphin, responsable de la mission d’inventaire des soieries et de Cécilia Nils, médiatrice culturelle. Elles m’ont permis de soumettre les deux chapitres les plus techniques à un ancien gareur (réparateur de métier à tisser) et une ancienne tisseuse. Je suis allée arpenter les allées des ateliers et visiter les bâtiments pour m’imprégner des lieux et transmettre une part réelle de la vie à cette époque sans oublier de laisser aussi une part de rêve au lecteur.
Si RUBANS de SOIE est de la même veine que
Le Chemin des trois filles,
publié l’an dernier, on peut
s’attendre à quelques belles soirées de lecture.
Extrait de la Voix du Nord du 27 mai 2015
LA VOIX DU NORD mercredi 27 mai 2015
« Pour oublier les soucis du quotidien durant les
prochaines vacances,
empruntez le Chemin des Trois Filles !
»
Extrait de l'article de la Voix du Nord du 29/05/2014.
Article paru sur lavoixdunord.fr le 29 mai 2014.
Article paru sur Bugeycotière.fr
« Un premier roman avec des références locales ».
Extrait de l'article de
La Côtière.
- Fantômes en Uniforme, sorti en décembre 2011.
Marie François sort son premier roman
Cette ancienne meximiarde, expatriée dans le Nord, est heureuse de publier son premier roman Fantômes en uniforme qu’elle dédicacera le samedi 27 octobre de 9h30 à 12h30 à la maison de la presse de Montluel.
Fille de libraire, Marie François (*) vit au milieu des livres depuis son plus jeune âge. Très tôt, cette grande férue de lecture aime dévorer les pages. Lire autant lui donne le sens de la magie des mots, mais surtout l’envie de faire vivre ses propres personnages. “Lorsqu’on est élevé dans une librairie, que l’on peut lire tout ce que l’on veut et qu’on est bercé par la littérature aussi bien classique, documentaire ou autres, l’envie d’écrire est presque naturel” confie l’intéressée qui a vécu à Lyon et à Meximieux jusqu’à l’âge de 20 ans. Se mariant en 1965 avec un garçon issu d’une vieille famille meximiarde, elle écrit son premier roman avant la naissance de son premier enfant mais… oublie le manuscrit au fond d’un tiroir ! Deux autres garçons suivront, comme elle suivra son mari un peu partout en France pour raisons professionnelles. Des années plus tard, la famille installée dans le Nord, les enfants plus grands, Marie François se remet en selle à la quête de renseignements pour “peaufiner” son premier livre. Prise à nouveau par le virus de l’écriture, elle rédige alors un deuxième roman dont l’intrigue se passe aux États-Unis au moment de la guerre de Sécession. L’arrivée d’un quatrième enfant, une fille, met en sommeil son écriture durant une quinzaine d’années. La vie suit son cours, ses fils se marient et dix petits enfants verront le jour.
Un premier roman avec des références locales
Dans la maison familiale située au cœur de la Dombes, tout le monde se regroupe chaque été et quand le calme revient, Marie François en profite pour parfaire ses recherches, toujours en vue d’un
livre à venir. Mais, les aléas de la vie font qu’il n’est pas toujours simple de trouver du temps pour s’adonner pleinement à sa passion. Entre ses petits-enfants et le bénévolat, ses journées
sont bien remplies. Elle ressort néanmoins ses manuscrits pour les retravailler et la maturité donne un autre élan à l’écriture. Et puis un jour, le rêve de l’édition se réalise, son premier
roman parait chez Airaim éditions au mois de décembre 2011. “J’attendais cela depuis des années. J’éprouve bien sûr beaucoup de joie. C’est aussi une surprise pour moi car c’est la
reconnaissance d’un travail de longue haleine” explique cet auteur discret qui préfère l’ombre à la lumière.
Ayant pour titre Fantômes en uniforme, son premier roman plutôt noir et triste, s’adresse à un public averti. “On ne peut pas écrire quelque chose de léger sur un sujet grave comme la guerre
où l’on mêle hélas les Juifs et toute cette période qui a été très noire. C’est un livre que je ne conseille pas avant l’âge de 15 ans car il y a notamment des interrogatoires avec la Gestapo,
des mots forts comme l’épuration… Tous les faits historiques ont été soigneusement vérifiés” souligne Marie François qui, origine oblige, mentionne quelques références locales. L’héroïne du
roman possède ainsi une maison sur la commune de Pérouges et un passage décrit la salle de l’Ostellerie.
Les projets d’écriture ne manquent pas pour cette ch’ti d’adoption. Son deuxième roman, durant la guerre de Sécession, doit paraître en 2013, toujours chez le même éditeur et un troisième ouvrage
est actuellement en écriture…
(*) : nom d’auteur